"Je rêve de faire les JOP en 2028 à Los Angeles."
"J'ai regardé cet évènement avec passion. Je suis escrimeuse depuis l'âge de 6 ans et membre de l'équipe de France depuis mes 14 ans. Je n'ai malheureusement pas été sélectionnée pour les JOP 2024. Cela a été une grosse déception mais j'ai naturellement suivi les épreuves. Cela fait partie de la vie d'un sportif. C'est une vie difficile, en particulier pour l'escrime où vous devez avoir une vie professionnelle à côté pour gagner votre vie."
Laurence, locataire de la résidence de l'avenue de Clichy (17e)
"Accueillir cet événement à domicile a été une expérience unique dont je me souviendrai."
"Je suis un grand passionné de sport. J'ai 61 ans et je ne pourrais pas cesser d'en faire comme j'aime pouvoir assister à des grandes compétitions. Alors, avoir les JOP à Paris a été une chance immense. Je suis allé voir la rugby à 7, hommes et femmes, puis le cyclisme sur route et la natation en eau libre."
Jacques, locataire de la résidence Bresse (16e)
"J'ai souhaité être volontaire car c'est un évènement qui n'arrive qu'une fois dans une vie."
"J'aime le sport et le sentiment de cohésion qu'il procure. Ces JOP ont été une superbe expérience. J'avais répondu à une campagne en 2023 qui recherchait des volontaires. J'ai passé une sélection basée sur le niveau de langue et la motivation puis j'ai été assigné au poste d'équipier transport au Grand Palais. Je devais gérer l'arrivée sur ce site des véhicules des athlètes et des personnes accréditées."
Allan, locataire de la résidence Fantin Latour (16e)
"J'ai d'abord craint l'organisation de cet événement à Paris, mais face à l'engouement, je me suis également laissée porter."
"Je suis passionnée de sport, en particulier de natation. Par mon employeur, j'ai pu obtenir des places pour assister à une demi-finale d'une épreuve de natation mais aussi de basket. Cela a été merveilleux de pouvoir vivre cette expérience avec mes enfants, à côté de la maison. Je pense qu'ils s'en souviendront toute leur vie."
Mati, locataire de la résidence Devéria (20e)
"Pendant les JOP, j'ai été chaperon et participé à la lutte antidopage."
"Ma mission consistait à notifier aux athlètes qu'ils avaient été désignés pour un contrôle antidopage. Ce n'était pas agréable pour eux : nous devions les réveiller à 5h45 le matin, je devais leur expliquer qu'il s'agissait d'une sélection aléatoire puis les accompagner jusqu'au centre de test. J'étais présent sur deux sites : le Village olympique et le Stade de France. Pour cette mission, nous devions faire preuve de discrétion. Je me trouvais parfois aux côtés d'athlètes reconnus, mais je devais conserver une certaine distance."
Francelise, locataire de la résidence avenue de Clichy (17e)
